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Qui est en ligne ? | Il y a en tout 2 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 2 Invités Aucun Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 40 le Dim 28 Jan - 6:02 |
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Naoji Hyuuga Ninja - Jonin
Points d'activité : 505 Accomplissements : - - Expérimentateur Ninpo
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Messages : 80 Feuille de personnage État Physique: En pleine forme Réserve de Chakra: 20/20 Ryos: 8000 | Sujet: [Rue de Konoha] Estampe Dim 16 Oct - 3:51 | |
| Estampe, Feu d’artifice
La lune était pleine, une femme prête à donner bas de son ventre rond si pâle qu’il en était éblouissant. Une nuit claire pour l’étoile nouvelle. Le village semblait être au premier rang de cette naissance céleste, comme un enfant tant attendu. Gestation de trente jours, attente où la lune bombé rencontrerai la nouvelle année pour accomplir et célébré le cycle venant. Les rues étaient pleine à craqué, la foule chamarré dans l’euphorie du moment. Rire, joie, bonheur. La nuit avait noyé les soucis quotidiens le temps de sa ronde. Compenser. Déambulait dans la grande allée multiple funambule, acrobate, artiste de tout horizon. Danseur déguisé dans une frénésie rouge et tourbillonnante. Jongleur gracieux, nain coloré ou sur échasse. Des musiciens mobile sur les chars disposé leurs notes sur les chemins comme les fleurs par million qui tombé des paniers de belles femmes où du haut des toits bondé de spectateur téméraire. Dans le défilé ; foule d’homme se camouflaient sous les étuves de déguisement védique et mythologique. De long dragon, des représentations divines, et autres animaux gigantesques. Des artificiers éclairés la nuit d’étoile de couleurs semblant pareilles à des petites lucioles éphémères qu’on pourrait toucher du doigts. Des pétards en furie, fusées chuintante, grande giboulée et gerbe de fée.
Tout le monde en cette nuit c’était uni d’un même bonheur, le monde n’était plus qu’un sourire béat, la bedaine bien repus des mets délicieux et de l’hydromel signé des dieux. Naoji lui-même respirait le bien être. Bien que, seul sur le front des visages de pierre des grand Hokage, il avait l’œil pétillant dirigé vers l’émeute festive qui se rependait en contagion dans chaque rue, chaque ruelle du village de Konoha. Même les chats semblaient danser et chanter dans les terrains vagues. Il attendait son heure, le court instant où la fête se taira l’espace d’un instant, sombrant dans l’obscurité lunaire d’un spectacle organisé. Naoji avait eut l’aval du Hokage et ami, Ren. Déjà il percevait les étoiles dans toutes ces paires d’yeux d’ici bas, plein d’incompréhension et de contemplation devant les nues qui viendront se dorer au ciel.
Ca arriva. Dans un commun clin d’œil les lanternes s’éteignirent. Seul quelques lampions rouges persisté en rebelles de ci, de là. La foule c’était immobilisé dans chacune de ses activités. Divinité aux milles paires de bras occupé pétrifié par l’obscurité soudaine. Puis soudain, une exclamation émerveillé s’éleva d’un point et se rependit à un autre. Des doigts dressés, tournés vers le ciel semblant se métamorphosée. Des nuages s’érigeaient en forme subtil dans cette toile lisse et parfaite, les rayons de lune se reflétant dessus, illuminant que d’avantage les détails de ces étranges spectres cotonneux. La terre était témoin d’une scène dansante ou deux nuages virevolté de leurs quatre bras. Shiva avait envoyé son reflet dans le ciel. Puis une ménagerie céleste formait un cercle autour des êtres de nuées. C’était comme un mandala mouvant. Naoji sur le front de la statue de pierre souriait comme un bienveillant, assis en lotus, le regard clos, il était le marionnettiste de l’invisible, manipulant les brumes, les nuages, les vapeurs en métamorphose, cerf-volant des belles nuits. Metteur en scène dans les coulisses observant ces fabuleux artiste émerveillé son public de chaire et d’os. Un feu d’artifice fait de sa fumée.
Dernière édition par Naoji Hyuuga le Mer 18 Jan - 6:31, édité 1 fois |
| | | Naoji Hyuuga Ninja - Jonin
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Messages : 80 Feuille de personnage État Physique: En pleine forme Réserve de Chakra: 20/20 Ryos: 8000 | Sujet: Re: [Rue de Konoha] Estampe Dim 23 Oct - 9:45 | |
| Estampe, Eve*1
Au fond du temple tremblant, une cloche sonnait par à-coup tonitruant. D’immenses bacs fumants, autour de cette cloche de bronze, déglutissaient des nappes vaseuses d’une blancheur aux senteurs de benjoin. Ces fumeroles étaient porteuses aux reflets des bougies et flambeaux tremblotant. L’air été ténu de sainteté vacillante entre les arches de la foi. Les bonzes portaient leurs bourdons dans tout l’enchevêtrement de bras boisé arachnéen. Des frissons remonteraient l’échine d’un serpent à l’écoute d’une telle ampleur sonore. La puissance de dizaine de diphonie accouplées comme une orgie langagière et de prière. Les mantras refluaient des gorges bleues. Trouble des sens, le temps et l’espace se floutaient en un cadavre d’onirie. Plus au fond encore, dans les profondeurs gargantuesques de l’estomac de la piété. Là où refoulent tous les gaz vagabond d’un aller au pied des Eveillés. Là où la flore grandit sur les sucs de toute la confiance, la fidélité et la compassion des hommes, ils nourrissent ces lieux de leur [educatio]. Point de religion sans imagination, la croyance commence dans les rêves et se poursuit sur les chemins de la vie. Car la vie est une métaphore, parfois une allégorie, une béatitude rempli d’image se dessinant au gré des sens et de l’esprit…
Les cheveux lâches, plantes qui longtemps durent subir les lacets de la bienséance, qui d’un coup retrouvaient leurs liberté de « pluire » comme des fleuves brillant, lisse, fluide le long et autour du massif crânien jusqu’à s’enfoncer dans les racines montagneuse, en dessous des terres du cou noirci de col noir. La lave comme vêtement, rouge palpitant, reflet d’un cœur battant. Kimono de grâce mélangeant les formes et les angles, les courbes et les traits de celui qui le portait. Hermaphrodisme de blanc masqué. Travestissement de la réalité. Au porte du théâtre Nô qui s’ouvre à la fluidité de la gestuel dansé. Il n’y a plus là qu’un spectre anonyme. Les bordures et la ceinture d’or de ces contreforts de l’enfer visible d’un corps ne suggérant que la calme vertueux du voir et du percevoir. La vérité en quête de ses réponses. Et les panaches en gerbe du magma des tissus laissaient sombrer la silhouette d’un homme statufié dans l’expression, ayant pétrifié son état à celui de l’instant. Bloc insensible dans l’accomplissement de sa mission. Il disparait du corps chaud, de la bedaine bouddhique, laissant être porté au vent nocturne, la lune fleurissant ces lumières comme des lucioles dans la fumée. Un orteil posé sur l’arcade d’un portique et la voilà déjà rendu ailleurs, l’ombre d’un rouge gorge, gorge déployé, le chant chante déjà au déplacement des tissus et au bruit d’une respiration de poisson. Le ton change, transition, musique de pleine lune, les baleines barrissent vers la mer blanche des ciels inaccessibles. A quoi bon se méfier de ce qui n’existe pas ? A quoi bon convier au regard l’intérêt de ce qui ne parait être qu’hallucination ? Voir des poissons dans le ciel n’est guère plus réaliste que voir une statue, une chose, bouger et disparaître. A partir de là, au sens dépassé du cerveau, maltraité par ses filtres, certaines choses bien visible deviennent invisibles remplacées par une réalité sensé, qui sécurise dans la demeure de la raison. Loin des longs couloirs surréalistes de la vie en « metaphormose »…
Les oreilles trainent dans ce qui n’est pas, des yeux partout. Tout ça n’est qu’un grand œil composé d’autant d’œil faisant sa surface, de bâtonnet et de cône faisant leur surface. Tout ça face à un soleil au rayon filtré par chacun, passant, traité, reflet. Grand kaléidoscope, jeu d’ombre et de lumière, et là où tous les grands miroirs semble réfléchir les lignes solaires; des pans d’obscurité pareil à des trous noir font la cachette de l’incompréhensible des percepteurs. C’est comme cette grande demeure, noble et luxueuse. Tout plein de lumière qui vont et viennent, éclairant le sol, rebondissant sur les murs blanc, pourtant les angles du [phenomenon] ne resplendissent pas tous. Et dans les ombres de ces flammes grelottantes, tremblantes, laissant leurs lumières se diffuser de manière instable, l’ombre suit les défauts des flammes comme une danseuse se collant à la forme de son danseur. Subtil imbrication ou l’un se repaisse de l’autre sans qu’il le sache. Voilà l’éclat du franc savoir, l’apprendre quand il ne sait pas qu’on le [scire]…
*1. A prononcer [évé] |
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