Satsujin Kurai
Ninja - Genin
Points d'activité : 12
Messages : 4
Feuille de personnage
État Physique: En pleine forme
Réserve de Chakra: 20/20
Ryos: 0 |  Sujet: ~ Arrivée brusque du Jeune Garçon ! ~  Mar 6 Sep - 23:31 | |
| [Flash-Back qui durera jusqu'au grade Genin] La nuit tombée ... Les vent balayait les long cheveux du jeune homme ... Quelques perles salées roulent sur ses petites joues encore frileuses. Le gamin leva son bras, et s'essuya avec ses fines manches écorchés. Plus il se rapprochait du village, plus une odeur envoutante remplissait ses narines. L'odeur de bons plats cuisinait n'avait pas eu cet effet sur lui depuis la mort de sa mère ... Car effectivement, sa propre cuisine n'était pas vraiment bonne, il le faisait surtout pour "vivre". Il avait perdu le sens du gout, et même l'envie de manger. LE voilà franchir pour la deuxième fois ses portes ... Les deux gardes avaient eu le temps de s'endormir sur deux hauts rochers qui entourait la fine passe qui servait à pénétrer dans le village. Le jeune homme continuait son chemin dans le village, tête baisser, le regard vide. Il marchait dans les ruelles éclairées par de petites lampes accrochés sur les murs de maison qui appartenaient aux habitants. Voilà bientot six mois qu'il n'avait plus fait le tour de son pays natal, quelques minutes lui suffit pour se rappeler de tout les recoins de celui-ci. Son ventre gargouillé ... Il était aussi vide que ses poches malheureusement ... Plus un sous en poche pour aller acheter quoi que ce soit. Plus un seul parent capable de quoi que ce soit pour lui, il était un peu comme un orphelin ... Il pris la direction de la forge qui appartenait à son pere. Il fit le tour du batiment, souleva une petite pierre qui se trouvait à l'arrière. Il saisit la clef qui s'y trouvait dessous et ouvrit la petite porte. Le bois craqua sous le poid de sa main sur la poignée. Celle-ci n'avait pas fonctionnait depuis de longs mois. De la poussière, des toiles d'araignée et une odeur épouvantable ... Sur un établie était encore poser un sac de tissu qui contenait quelques Kunai, le gamin y enleva les armes et le déposa sur le sol, sous la table. Il s'allongea à même le sol et se servit de celui-ci comme couverture. - Bonne nuit ... Maman ... Le sommeil n'avait pas était long à emporter le petit. Une nuit qui passa comme un instant, à peine le temps de se reposer, que voilà que le soleil faisait son apparition en même temps que les premiers villageois. Un coup d'oeil vers l'entrée, et voilà que des dizaines de personnes s'était empressé de venir voir qui avait ouvert la porte de la forge, et qui s'y était installé. Par peur, le gamin se leva brusquement. Dès que les villageois l'aperçurent, un homme de plutot grande taille ouvrit la porte d'un geste brusque. Il entra dans la forge en gesticulant et en criant des mots qui était imperceptible pour Satsujin qui venait à peine de se réveiller. Il eut une réaction.- Oui Monsieur.Aussi tôt, il se mit à courrir hors de la forge et fuit le regard de tout ces gens. Il commença une course dans les ruelles, à travers les paysans, les travailleurs. Quelques crient fusèrent dans sa direction, qu'il ignora très rapidement. Après des semaines et des semaines d'entraînements, Satsujin avait bien le physique, voilà quelque sminutes qu'il courrait. Il ne voyait plus personne derrière lui, aucune n'avait tenu la cadence, et les premiers signe de fatigue n'avait toujours pas fait leur apparitions. Il aperçut un mur devant lui, il tourna à gauche. A peine le temps de voir un pieds tendu devant lui, qu'il roula aussi tôt sur le sol. L'homme se jeta sur lui, le saisit, et le ligota rapidement. Les gens autour regardaient d'un air stupéfait. Il fut escorté jusqu'à un poste de gardes qui se trouvait à l'entrée du village. Le gamin bougeait dans tout les sens, jusqu'à l'arrivée du chef. Le premier regard, et voilà qu'il donna l'ordre à l'homme de libérer Satsujin. Une fois libérer, il fixa l'homme qui venait de rentrer dans la salle, et par sécurité et habitude, crainte, il mit sa garde prêt à se defendre ... L'homme le fixait ...- Tu as les yeux de ton père ... Et le même regard insolent de ta mère petit ... Excuse le pour le dérangement. Prend ce billet, va aux nouilles qui sont dans le coin, regarde comme tu es maigre ... Je passerait dans la journée pour te voir. |
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